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Balade d'une Marseillaise

Espèrendieu dans Marseille

L’architecte Espérendieu dans Marseille

statut de henry Espèrendeu

Originaire de Nîmes, il étudie à Paris avant de commencer sa carrière à Marseille. Henri Espérandieu y bâtira plusieurs ouvrages importants pour la ville. Il décédera à Marseille en 1874 avant d’être inhumé à Nîmes.

La Vierge dorée

1857/1858

statue de la Vierge dorée dessinée par Henry Espérandieu

Le monument de la Vierge dorée a été élevé pour célébrer le dogme de l’Immaculée Conception. Installé à l’extrémité du boulevard d’Athènes en 1857. Aujourd’hui à l’angle de la rue des Héros et du boulevard Voltaire. Elle est un monument oublié de la ville.

Notre-Dame de la Garde

1853/1864

Notre-Dame de la Garde et son escalier de pénitence

La construction de la basilique Notre-Dame de la Garde dure 21 ans et se trouve encore inachevée à la mort de l’architecte. Cette construction, qui devait au départ n’être qu’un agrandissement de la chapelle médiéval, sera finalement la création d’un nouveau monument dans un style romano byzantin. Notre-dame de la garde lui donnera toute sa visibilité dans la ville.

Le Palais Longchamp

1862/1869

entrée principale du parc Longchamp

Henri Espérandieu est le concepteur et le réalisateur du Palais Longchamp. Ce parc est à la fois un lieu de connaissance (musées des beaux-arts et d’histoire naturelle, observatoire) et un lieu de promenade prisé par les enfants grâce à son zoo (fermé dans les années 1980) et par les plus grands grâce à son parc de 12,7 hectares et son jardin botanique. Il sera l’un des monuments les plus représentatifs de la ville du Second Empire.

Cathédrale de la Major

Cathédrale de la Major

1854/1872

cathédrale Sainte-Marie-Majeure dite la Major

À la mort de l’architecte Vaudoyer en 1872. Henri Espérandieu est chargé de la poursuite des travaux, de la Nouvelle Major. La nouvelle cathédrale sera érigée sur l’emplacement de l’ancienne du XIIe siècle, qui sera partiellement démolie. Elle sera la plus grande d’Europe avec ces 1500 places assises. Toujours en activité, surtout pendant les grands événements.

Le palais des Arts

1865/1874

palais des arts

La construction de ce bâtiment est décidée par délibération du Conseil municipal du 7 mars 1859. Henri Espérandieu, qui aura pour conducteur des travaux Gaudensi Allar, frère aîné du sculpteur (André-Joséph Allar).

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